mardi 15 octobre 2013

Le frelon géant chinois

J'ai été sidéré aujourd'hui par un twit de  +National Geographic concernant le frelon géant chinois qui fait des victimes en Chine (cliquez ici pour l'article de National Geographic)

  • Son nom scientifique : vespa mandarinia
  • Taille : 5 cm (mesurez sur la paume de votre main !). C'est le plus gros, y a pas mieux, et c'est tant mieux  !!!
  • Taille du dard : 6 cm
  • Sa vitesse : 50 km/h
  • Il peu piquer plusieurs fois sans problème
  • Il peut couper une abeille en deux d'un seul coup de mandibules
  • En 1h, une colonies de 100 de ces frelons peu décimer un essaim de 10000 abeilles
  • Il est capable de décimer des colonies d'autres espèces de frelons
  • Même si vous n'êtes pas allergique, de multiples piqures peuvent vous tuer en quelques dizaines de minutes si vous n'êtes pas traité comme il faut d'urgence.
  • Certains ont fait plusieurs semaines d'hôpital après avoir été attaqué.

Ça fout les frissons non ?

Giant Hornet, Vespa mandarinia

Alors j'ai un peu surfé pour en savoir plus et ai découvert un film de 45 minutes environ de la chaîne National Geographic disponible sur Youtube qui explique beaucoup de choses sur ce terrible animal.
Le film propose de suivre un spécialiste japonais (ce frelon est également présent au Japon). Je crois que jamais je n'oserai manipuler le frelon comme il le fait sur certaines images !

Cliquez ici pour accéder au film

Ce film est vraiment passionnant, avec des images époustouflantes. Si vous aimez les insectes, la nature, ou bien même les sensations, regardez. On y apprend des choses intéressantes, par exemple que l'abeille occidentale introduite au Japon ne sait pas se défendre contre lui. Alors que l'abeille locale sait comment neutraliser l'éclaireur avant qu'il soit capable d'indiquer l'essaim d'abeille au reste de la colonie pour la tuerie. Je vous laisse découvrir comment, c'est étonnant. Mais à sa décharge, il faut savoir que si il décime les essaims d'abeille, cela n'est que pour récupérer le miel et les larves pour nourrir les bébés de sa colonie !

Ce frelon est vraiment une machine de guerre. Surtout, ne le dérangez pas, ne le croisez pas ...

Nous avons déjà introduite en France le frelon asiatique vespa velutina, ce qui pose des problèmes assez sérieux, si j'ai bien compris, j'espère que celui ci ne sera jamais introduit chez nous ...


vendredi 11 octobre 2013

Ce jour là, 11 octobre 1915, mourrait Jean-Henri Fabre

 
Jean-Henri Fabre, est né le 21/12/1823 à St Léon du Lévézou (Aveyron), mort le 11/10/1915 à Sérignan du Comtat (Vaucluse).

C’est un de mes personnages préférés de l’histoire des sciences. Il a su être à la fois un scientifique, un naturaliste, un entomologiste, un humaniste,un écrivain, un poète.

Je pense que tout le monde devrait au moins avoir lu un jour un passage de son œuvre majeure "Souvenirs entomologiques". Un récit de ses observations scientifiques et passionnées des insectes.Certes cela n'est pas une méthode d'observation très moderne, mais qu'importe !

Comme l’a si bien dit Jean Rostand : "Un grand savant qui pense en philosophe, voit en artiste, sent et s'exprime en poète".

Victor Hugo l'avait surnommé "L'Homère des insectes".

En plus il n’était pas dénué d’humour. Voici un passage de ses observations sur les guêpes, dans lequel il décrit comment les endormir afin de pouvoir les observer en sécurité.

[...]
"La méthode par l'asphyxie est ici de rigueur, à moins d'expédients coûteux, hors de proportion avec mes ressources. Quand il voulait mettre en loge vitrée un guêpier vivant afin d'en observer les moeurs, le bon Réaumur avait des laquais bénévoles, aguerris dans le cuisant métier, qui, alléchés par une bonne récompense, payaient de leur épiderme la satisfaction du savant. Moi, qui devrais payer directement du mien, j'y regarde à deux fois avant d'exhumer le nid convoité. Au préalable, j'en suffoque les habitants. Guêpe morte ne pique plus. Le moyen est brutal, mais il donne pleine sécurité."
[...]

 Peut être un bémol dans sa vie : son refus de la théorie de l’évolution, étant influencé par la religion. Mais c’est toujours facile après de critiquer et condamner, il faut savoir se mettre dans le contexte de l’époque. 

Si vous voulez en savoir plus, voici quelques liens intéressant :



mercredi 9 octobre 2013

La bataille de Fontenoy en Pusaye

J’ai lu dans le N°8 du bimestriel Histoires de France, un article sur la bataille de Fontenoye. Cette fameuse bataille qui a fait naître le royaume de France. En lisant cet article, je ne pouvais m’empêcher de me questionner sur la cascade événements qui au final ont forgent l’histoire. En effet, que serait il advenu si Louis 1er dit le Pieux n’était pas revenu sur sa première décision et n’avait donc pas attribué, sous la pression de sa seconde femme, l’Alamanie à son fils Charles. Question qui restera bien entendu à jamais sans réponse.
Mais bon, regardons l’enchaînement des événements.
En septembre 813, quelques mois avant de mourir (en janvier 814), Charlemagne fait sacrer empereur  son dernier fils vivant Louis. Etant seul, il n’a pas de problème de succession.
Par contre, la sienne de succession va être un peu plus compliquée. Il a 3 fils avec sa femme Hermengarde.

  •  Lothaire, né en 795
  •  Pépin, né en 803
  •  Louis, né en 804


Donc, en 817, Louis 1er décide de sa succession :

  • A Pépin l’Aquitaine
  • A Louis la Bavière
  •  A Lothaire le reste

Lothaire bénéficie de son droit d’ainesse.

Mais, et c’est là que ça devient intéressant, voila t il pas que Hermengarde décède en 818. Je ne sais pas de quoi elle décède mais peu importe. Alors, notre bon empereur Louis 1er se remarie avec Judith de Bavière et ensemble ont un 4ème fils en 823 : Charles.
Et bien entendu, il fallait s'y attendre, Judith ne fait rien de moins qu’exiger que Charles ait aussi sa part du gâteau, et donc remet en question le partage de 817. Et Louis 1er, en bon mari, s’exécute et attribue donc l’Alamanie à Charles.
Cela entraîne le fort mécontentement des 3 fils ainés qui se révoltent contre leur père. Ben dit donc, le sens de la famille avait déjà ses limites à l’époque !
En 833 ; Louis 1er perd sa couronne d’empereur mais en 837, ses deux fils Pépin et Louis la lui restituent afin de contrer la puissance montante de Lothaire. Alliances de circonstance !
En 839, Pépin meurt. Et oui, même puissant on pouvait mourir jeune à l’époque ! Mais il avait tout de même un fils : Pépin II.
Cela oblige Louis 1er à revoir les partages de la succession.

  •  Pour Louis, rien ne change, il conserve la Bavière
  •  Lothaire et Charles se partagent le reste.
  • Pépin II lui, n’a rien !

Vous suivez toujours ? Moi j'ai du mal.

En 840, Louis le Pieux meurt (62 ans tout de même !).

Lothaire, l’ainé, tente alors de tirer toute la couverture à lui tout seul. Ben voyons, c’est moi le plus vieux !
Vous vous doutez bien de ce qui se passe, son frère Louis et son demi-frère Charles, se coalisent contre lui. Et Pépin II essaye d’avoir également sa part du gâteau. Ben voyons !

Mais là, une période de négociations perdure, avec des arrangements qui permettent un certain statu quo. Mais cela ne devait pas durer.

En 841, Lothaire prend les armes contre son frère Louis dit le Germanique dont la puissance augmentait en Allemagne. Et là ça va se corser. Accrochez vous !

Lothaire prend rendez vous avec Charles le 8 mai à Attigny dans les Ardennes, pour conclure une alliance. Mais le 12 mai, Charles attend toujours son demi-frère. Mais le coquin lui a posé un lapin et est allé s’allier avec son neveu Pépin II d’Aquitaine. Donc, conséquences immédiates et logiques :

  • Charles s’allie avec Louis d’Allemagne
  • Pépin II rejoint son oncle Lothaire

Bataille de Fontenoy-en-Puisaye telle que représentée au XIVe siècle.
Image issue de l'article wikipédia "La bataille de Fontenoye-en-Puysaye"

S’engage alors une course poursuite entre les armées réunies de Charles et Louis et celle de Lothaire qui esquive en attendant les renforts promis par Pépin II.
Le 21 juin, les troupes adverses sont en contact à 7 km d’Auxerre, Lothaire cherche à gagner du temps, reprend la route et s’arrête sur des hauteurs au nord ouest de Fontenoy. Il est plus que jamais impatient que les renforts arrivent.
Le 23 juin, les négociations reprennent. Charles et Louis demandent à Lothaire de leur concéder des territoires. Lothaire demande un délai de réflexion, ce qui n’est que ruse.
Le 24 juin, les troupes de Pépin II arrivent enfin et la bataille commence.
Après divers retournements (pour les détails je vous conseille la lecture de l’article suscité), Charles et Louis sortent vainqueurs.
De cette bataille, naissent les serments de Strasbourg, le 14 février 842, signant une alliance entre les vainqueurs et qui ne donne pas d’autre choix à Lothaire que de négocier.
S’ensuit un an de négociations, qui aboutissent en 843 au traité de Verdun. Ce traité abouti au partage suivant en trois territoire qui vont marquer l’avenir :

  • A Charles maintenant dit le Chauve, la Francie occidentale,
  • A louis le Germanique la Francie orientale,
  • A Lothaire ce qui se trouve entre les deux, la Lotharingie.

On voit se profiler là ce qui déterminera plus tard la France, l’Allemagne et l’Italie.

Euuhh … et tout ça entre frères !

samedi 21 septembre 2013

L'Empire des Nombres (D Guedj)

Je viens de terminer la lecture de L'empire des nombres, de Denis GUEDJ (Découvertes Gallimard, Sciences et techniques, N°300, éd. 1996).


Et voici la couverture de la version anglaise que je viens de découvrir :




Je commence par ce passage à la page 61 du livre :

"1,2,3... ces nombres, dont la réalité est si manifeste qu'on les dit "naturels", que savons nous d'eux ?"

Ce livre, du mathématicien et écrivain Denis GUEDJ (1940-2010) retrace l'aventure extraordinaire des nombres, qui nous a conduit à considérer comme allant de soit de compter, écrire les nombres, écrire un calcul, effectuer les 4 opérations (+ - x /). Considérer comme allant de soit l'existence du zéro, des nombres négatifs, des nombres réels, des infinis, de la continuité, des nombres complexes, etc.

D. GUEDJ dans ce livre montre bien la longue évolution dans la pensée de l'homme qui a permis d'aboutir à cela. Ses talents de vulgarisateur lui permettent d'exprimer "simplement" toute la démarche intellectuelle qu'il a fallut que l'homme déploie pour agrandir l'empire des nombre depuis les entiers naturels jusqu'aux nombres complexes, en passant par les entiers relatifs, et les nombres rationnels, etc.

Savons nous que ce n'est qu'au Ve siècle que le zéro a été introduit par les indiens parce que indispensable dans la numération de position qu'ils ont mis en place et qui est celle que nous utilisons toujours ?

Savons nous que l'Occident fut réticent à adopter les nombres négatifs ? Il ne le fit que mille ans après les indiens, au XVe siècle. Et pourtant, nous n'avons aucun problème à indiquer des températures négatives, à descendre au niveau $-2$ du parking souterrain !

Savons nous que ce n'est qu'à la fin du XIXe siècle que les notions d'infinis ont été clarifiées (par Cantor et Dedekind) ?

Et bien d'autres choses passionnantes nous sont contées dans cet ouvrage. De plus cet ouvrage contient de nombreuses illustrations et références.

Je ne peut résister à citer quelques passages :

"Ce qui pour nous est une évidence : écrire un calcul, effectuer directement les opérations avec l'écriture des nombres, se révèle une pratique tardive et exceptionnelle dans l'histoire des hommes. ce calcul par l'écrit, et par l'écrit seul, n'a pu se réaliser pleinement que par la numération indienne de position munie d'un zéro, vers le ve siècle de notre ère. Dix figures seulement pour représenter tous les nombres du monde".

Sur le zéro, un de mes passages préféré :
"Totalement impuissant dans l'addition, $n+0=n$; il est en revanche tout puissant dans la multiplication $nx0=0$. Quant à l'élévation à la puissance : si $a$ est différent de $0$, $a^0=1$. Mais attention à la division! On ne divise pas par $0$, c'est l'interdit suprême"

De l'étimologie du zéro :
"Sunya c'est le nom de la marque du vide en langue indienne; ainsi la première figuration du zéro fut un petit cercle, sunya, le vide. traduit en arabe cela devient sifr, traduit en latin, zephirum, qui donna zéphiro, zéro. Ainsi, dans de nombreuses langues, le dernier venu parmi les chiffres, le sifr, a donné son nom à la collection entière des chiffres."

Passionnant ...

J'ai appris au gré de mes recherches qu'un film a été réalisé par  à partir de ce livre  et qu'on peut se le procurer sur le site de la chaîne ARTE : http://boutique.arte.tv/empire_des_nombres. Je n'ai pas eu l'occasion de voir ce film.

mercredi 18 septembre 2013

Décomposition canonique des entiers relatifs - Code Scilab

C'est quoi ?

La décomposition canonique d'un entier relatif consiste à l'écrire comme un produit de puissances entières de nombres premiers. On peut démontrer que cette décomposition est unique. Je trouve cela passionnant, un peu comme si les nombres premiers étaient les atomes des entiers.

Quelques exemples


$12=2^2 \cdot 3$
$97=97$ (pas étonnant, c'est un nombre premier !)
$222=2 \cdot 3 \cdot 37$
$432=2^4 \cdot 3^3$
$624=2^4 \cdot 3 \cdot 13 $
$4325854=2 \cdot 13 \cdot17 \cdot 9787$

A quoi ça peut servir ?

Obtenir cette décomposition peut être très pratique pour obtenir certains résultats, par exemple le PGCD, le PPCM de deux entiers $p$ et $p$, écrire la racine carrée d'un entier $n$ sous forme irréductible, écrire le quotient de deux entiers $p$ et $q$ sous forme irréductible et certainement bien d'autres choses.
Je décrirai ces autres possibilités dans de futurs posts.

Code Scilab

C'est mon premier véritable code Scilab que je créé, donc, malgré sa simplicité apparente, j'ai un peu bataillé, surtout pour découvrir les fonctions offertes par ce logiciel.

Deux fonctions m'ont été très utile, sans elles, le code aurait été je pense plus compliqué à élaborer :

  •  factor(N) qui restitue sous forme de matrice les facteurs premiers de N (il peut y avoir des répétitions)
  • unique(M) qui restitue sous forme de matrice la liste des facteurs premiers (supprime les répétitions)
Trouver comment utiliser string et strcat pour élaborer la chaîne de caractères qui affiche le résultat n'a pas été immédiat également.

Code Scilab - Décomposition canonique des entiers relatifs
clear str
N=432
M=factor(N)
MU=unique(M)
l=length(M)
lu=length(MU)
P=zeros(1,lu)
for n=1:lu
    for m=1:l
        if M(m)==MU(n) then 
            P(n)=P(n)+1
        end
    end
end
disp(M)
disp(MU)
disp(P)
for n=1:lu
    str(n)=strcat([string(MU(n)),"^",string(P(n))])
end
disp(string(N)+'='+strcat(str,".","r"))





vendredi 6 septembre 2013

Le théorème de Varignon

Je viens de relire un ancien numéro de la revue mathématiques Tangente (le N° 150 pour être précis) et suis tombé sur leur dossier consacré au quadrilatère et certaines de ses propriétés intéressantes. Je trouve l’une d’elle assez sympathique, elle est décrite par le théorème de Varignon :

Soit un quadrilatère convexe $ABCD$, le quadrilatère construit à partir des milieux de chaque côté de $ABCD$ est un parallélogramme.

La démonstration n’est pas très compliquée, sauriez-vous la retrouver ?



Solution en cliquant sur "en savoir plus".

lundi 2 septembre 2013

Voyage au centre de la terre

Voici un article que j'avais écrit il y a un peu plus d'un an de cela sur un autre blog et que je reprends ici :

Je viens de relire, un des fameux romans de Jules Verne, Voyage au Centre de la Terre. Un pur bonheur que de retrouver ce genre de roman qui a apporté tant de rêve dans mon enfance. Cela fait du bien de temps en temps de relire quelques un de ces vieux romans. Et cela m'a donné l'envie d'en relire d'autres.
Et de toute évidence, ces romans ne font pas rêver que moi, si on en croit la filmographie qui s'y rattache.

Le roman

Le professeur Lindebrock, minéralogiste réputé et vivant à Hambourg, rentre chez lui le 24 mai 1863 munit d'un manuscrit du célèbre alchimiste Arne Sakenüssemm qu'il s'empresse d'étudier, promettant de ne rien manger tant qu'il n'en n'aurait pas déchiffrer les textes mystérieux qui le composent. Tout cela bien sûr au grand dam de son jeune neveu Axel et de la servante Marthe, car la privation de nourriture ne s'appliquait pas seulement à lui-même mais à toute la maisonnée. Nous avons là un des premier aperçut du caractère fort du professeur.
Le fameux texte mystérieux
La clé de déchiffrement de ce manuscrit est découverte inopinément par Axel, qui, à son corps défendant la révèle à son oncle qui, sur le champ, organise la fameuse expédition pour l'Islande, à laquelle, bien entendu, son neveu Axel se voit forcé d'y participer, et donc de subir un éloignement forcé de sa bien aimée Graüben. C'est en Islande qu'ils recruteront l'athlétique et taciturne guide Hans qui partagera leur aventure fabuleuse de bout en bout. Je n'en dirais pas plus pour ceux qui n'ont pas encore lu ce roman qui se lit rapidement, si ce n'est que le narrateur n'est autre qu'Axel, ce qui ne fait que rajouter de l'humour lorsque il est en proie aux reproches ou désaccords de son oncle.
La forêt de champignons

Le roman et la science

Ce qui me plait dans ce genre de roman, c'est qu'il correspond tout à fait à l'idée que je me fait de la science fiction. Jules Verne a su créer un environnement inconnu basé sur des argumentations scientifiques selon les connaissances de son époque. Et il y introduit les débats de l'époque, bien entendu, car c'est cela qui y met du piment. La plus fameuse est bien sûr celle de l'évolutionnisme. Puisque la faune que l'on découvre dans les sous terrains explorés par nos héros est celle de la préhistoire. Un monde parallèle au notre, proche mais inaccessible, qui a "oublié" d'évoluer. Je ne préciserais pas, pour ceux qui n'ont pas encore lu ce roman, la découverte finalement la plus surprenante, faite par le professeur et son neveu en fin de parcours...

Dérivés

Ce roman, comme d'autres du même auteur, à donné des adaptations diverses à la télévision, au cinéma, en bande dessinée, dont on peut trouver la liste sur l'article correspondant de sur wikipédia, Voyage au Centre de la Terre.
Noter que l'article de wikipédia ne cite pas une adaptation cinématographique de 1909, citée dans le fascicule des éditions Fabbri qui accompagne le livre que j'ai lu. Je serais bien curieux de voir cette adaptation de 9 min.

dimanche 1 septembre 2013

Calcul itinéraires

Je pratique assez régulièrement la course à pied. C'est toujours intéressant d'obtenir quelques détails sur les parcours. Bien entendu la distance, mais également le profil altimétrique, la vitesse moyenne etc.

Et bien, j'ai découvert un site intéressant, qui permet non seulement d'obtenir ces informations, mais également d'enregistrer son parcours afin de le partager. Cela permet bien sûr de découvrir d'autres parcours.

Ce site ne s'adresse pas uniquement aux joggeurs, mais également aux pratiquants de VTT, vélo, randonnées etc.

En plus on a la possibilité de télécharger son parcours en divers formats (GPS ... ), ce qui permet de manipuler les donner à sa convenance. 

En voici le lien et en illustration le parcours que j'ai enregistré.

http://www.calculitineraires.fr/

Liste des parcours recherchés selon les critères saisis

Les données de mon parcours. Attention, les données topo dépendent de la distance entre chaque point de mesure, pour une analyse fine, il faut à mon avis retravailler le graphe topo.

Graphe topo. Notez qu'en téléchargeant les points GPS on a la possibilité de les traiter sous excel